Laure Adler et Stefan Bollman, Les femmes qui lisent sont dangereuses, Paris : Flammarion, réédition 2015.
Quatrième de couverture : " Les livres ne sont pas des objets comme les autres pour les femmes ; depuis l'aube du christianisme jusqu'à aujourd'hui, entre nous et eux, circule un courant chaud, une affinité secrète, une relation étrange et singulière tissée d'interdits, d'appropriations, de réincorporations. »
Les femmes qui lisent sont dangereuses présente l'histoire de la lecture au féminin dans l'art. Le livre est composé de trois parties. La première est écrite par Laura Adler, elle n'a pas vraiment retenu mon attention car je l'ai lue en diagonale. En revanche, la seconde partie rédigée par Stefan Bollman m'a fortement intéressée. En effet, l'auteur propose un texte sur l'histoire de la lecture au féminin dans l'art qui résume bien l'ensemble de l'ouvrage. La dernière partie est une présentation sur une double page d'une oeuvre avec son explication.
J'ai apprécié le format du livre, sa maquette, la qualité du papier et des reproductions. Le livre couvre l'histoire de la lecture féminine dans l'art du XIVème siècle au XXème siècle, les auteurs ont fait un choix d’œuvres qui me semble être très approprié au sujet. Néanmoins, il y a de nombreuses répétitions car les œuvres et les commentaires présentés dans la deuxième partie sont repris dans la troisième.
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