Eileen Cook, Ne dites pas à ma mère que je suis voyante, elle me croit libraire à Vancouver, Paris : Presses de la Cité, 293 pages, 2009.
Présentation de l'éditeur : "On dit souvent que l'amour rend aveugle. Pas dans le cas de Sophie Kintock, qui,
après une rupture, se découvre un don de double vue jusque-là insoupçonné !
Quand Doug la quitte après six ans de vie commune, Sophie, libraire à Vancouver,
est prête à tout pour le récupérer. C'est pourquoi, lorsqu'elle apprend que sa
nouvelle petite amie, la pulpeuse Melanie, s'intéresse au paranormal, elle a une
idée aussi folle que diabolique : proposer à sa rivale une fausse consultation
de voyance destinée à faire rompre les tourtereaux. Mais rien ne va se passer
comme prévu, car Sophie se retrouve vite dépassée par le succès inattendu de ses
nouveaux talents... Eileen Cook signe une comédie désopilante portée par une
héroïne au caractère bien trempé, maladroite et attachante à souhait."
Ce roman est une très bonne surprise en matière de chick-lit. Je me méfie souvent de ce genre de littérature mais cette fois je suis tombée sur le bon livre.
Depuis 6 ans, Doug et Sophie vivent ensemble jusqu'au jour où, il décide de la quitter. Sophie va s'accrocher à lui et faire tout son possible, même l'incroyable pour essayer de le récupérer. Sophie est très attachante, on s'identifie facilement à elle. Elle est souvent excessive et se retrouve dans des situations incongrues. Il lui faudra franchir de nombreux obstacles pour que Doug lui revienne, mais elle ne se démonte pas, au contraire, elle ne lâche rien pour peut-être découvrir qu'au final leur histoire n'est peut-être qu'une illusion.
L'auteur ne cherche pas à en faire des montagnes, elle ne surjoue pas sur le caractère des personnages. Le livre se lit très rapidement, l'écriture est légère, le style fluide. Bref, ce livre est à dévorer.
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