La Cité des Orphelins, (The Girl who Owned a City) de O.T Nelson, adapté par Dan Jolley, illustrée par Joëlle Jones, Atlantic BD, 124 pages, 2012.
"Un virus mortel a décimé tous les adultes sur terre, ne laissant en vie que les enfants comme nous, seuls au monde. "
Lisa
vit dans un monde où toutes les personnes de plus de 12 ans ont été décimées
par un mystérieux virus. Ce sont donc des enfants livrés à eux-mêmes qui
tentent de survivre, qui réfléchissent et qui s’organisent comme des adultes. Lisa, notre héroïne, a une telle force de caractère qu’elle réussit à bâtir une
cité mais son orgueil va souvent la perdre.
Mon avis est plutôt mitigé sur cette bande dessinée car je n’ai pas aimé les dessins. De plus, l’histoire manque un peu d’action. En effet, on passe d’un évènement à un autre sans cohérence. D’autre part, les auteurs ne s’attardent pas à détailler ce qui se passe dans ce monde d’enfants. On ne ressent pas de malaise, ni d’atmosphère pesante. Disons que j’attendais une histoire beaucoup plus noire. Les seules difficultés auxquelles sont confrontés les enfants, sont le pillage et la violence des autres gangs. En réalité, cette histoire est plutôt positive car les enfants s’en sortent toujours.
J'ai apprécié le format de la bande dessinée, il est très pratique pour être glissé dans un sac.
Mon avis est plutôt mitigé sur cette bande dessinée car je n’ai pas aimé les dessins. De plus, l’histoire manque un peu d’action. En effet, on passe d’un évènement à un autre sans cohérence. D’autre part, les auteurs ne s’attardent pas à détailler ce qui se passe dans ce monde d’enfants. On ne ressent pas de malaise, ni d’atmosphère pesante. Disons que j’attendais une histoire beaucoup plus noire. Les seules difficultés auxquelles sont confrontés les enfants, sont le pillage et la violence des autres gangs. En réalité, cette histoire est plutôt positive car les enfants s’en sortent toujours.
J'ai apprécié le format de la bande dessinée, il est très pratique pour être glissé dans un sac.
BD lue dans le cadre d'une masse critique
Oh, c'est dommage, le thème avait l'air sympa, même si c'est du déjà vu.
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