Karen Joy Folwer, Le Club Jane Austen, Paris : Quai Voltaire, 2005, 335 pages. Traduit de l'anglais par Sylvie Doizelet.
Quatrième de couverture : "Un de ce livres rares qui nous rappelle ce qu'est le bonheur de lire. " New York
Times Book Review. " La conversation de ce club est tour à tour enjouée,
intelligente et anodine. Mais ce n'est pas tout : les protagonistes dégustent
des desserts hautes calories, sirotent des margaritas et s'évadent dans leurs
rêveries. Comme Jane Austen, Fowler est un esprit subversif et une fine
observatrice des relations humaines. " Publisher's Weekly. " Cinq femmes et un
homme se réunissent régulièrement pour discuter de l'œuvre de l'une des plus
grandes romancières anglaises. Ça se passe en Californie, au début du XXIe
siècle, et ce sont des gens normaux, ni heureux, ni malheureux chacun avec une
blessure et tous hantés par l'amour. A eux seuls ils forment le Club Jane Austen
éternel et avec eux Karen Joy Fowler compose un roman qui est si réussi, si
délicat, si plein d'esprit que les admirateurs d'Emma et d'Orgueil et préjugés
vont défaillir de bonheur. " Washington Post. "
Mon avis est plutôt mitigé sur ce livre. Je l'ai apprécié d'une certaine façon car ce roman a pour thème l'oeuvre de Jane Austen et la littérature en général. J'ai moins apprécié les débats philosophiques des différents protagonistes. Les personnages ne sont pas spécialement attachants. Les histoires annexes au club de lecture sont banales et sans grand intérêt. C'est un livre qui ne m'a pas marqué plus que cela, j'en attendais beaucoup au final c'est plutôt une déception.
Et moi qui comptais le lire bientôt!! Mais je suis averti, le avis sont toujours plutôt mitigés!
RépondreSupprimerEn effet, après coup, j'ai vu sur la blogosphère que les avis étaient mitigés un peu partout. On pourrait penser que le titre sert d'appât
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